Dans la presse suisse :
Romandie News →
« L'espéranto recommandé par des parlementaires pour le Prix Nobel.
Des parlementaires suisses recommandent l'espéranto pour le Prix Nobel de la paix 2008, à l'occasion des 100 ans de l'Association universelle d'espéranto (AUE). Ils tiennent à souligner l'importance démocratique de cette langue qui n'appartient à aucune nation.
Gisèle Ory, conseillère aux Etats (PS/NE) et Francine John-Calame, conseillère nationale (Verts/NE) ont envoyé un courrier à Oslo il y a quelques jours. L'espéranto est enseigné dans des camps de réfugiés en Afghanistan sous le nom de langue de la paix. Egalement utilisée dans des camps de jeunes Japonais et Coréens, elle permet des contacts d'égal à égal.
L'espéranto poursuit les mêmes buts que l'Unesco : soutenir la circulation libre de l'information en général et le développement de l'éducation, des sciences et de la culture. En 1954 et 1985, l'organisation mondiale a voté deux résolutions pour attirer l'attention sur le travail de l'Association universelle d'espéranto. »
RTN →
« L'espéranto candidat au Nobel de la paix.
Deux parlementaires neuchâteloises soutiennent la candidature de l’Association universelle d’espéranto (AUE) au Prix Nobel de la paix 2008.
Gisèle Ory, conseillère aux Etats, et Francine John, conseillère nationale, ont présenté cette candidature aujourd’hui à La Chaux-de-Fonds.
La métropole horlogère abrite un centre important espérantiste. L’espéranto est une langue fabriquée à partir de plusieurs autres langues. C’est une langue apolitique qui favorise les contacts pacifiques.
Un millier de personnes en Suisse pratiquent l’espéranto et 5 millions dans le monde.
L’Association universelle d’espéranto (AUE) pourrait recevoir un million de dollars si elle obtient le Nobel de la paix. »
Romandie News →
« L'espéranto recommandé par des parlementaires pour le Prix Nobel.
Des parlementaires suisses recommandent l'espéranto pour le Prix Nobel de la paix 2008, à l'occasion des 100 ans de l'Association universelle d'espéranto (AUE). Ils tiennent à souligner l'importance démocratique de cette langue qui n'appartient à aucune nation.
Gisèle Ory, conseillère aux Etats (PS/NE) et Francine John-Calame, conseillère nationale (Verts/NE) ont envoyé un courrier à Oslo il y a quelques jours. L'espéranto est enseigné dans des camps de réfugiés en Afghanistan sous le nom de langue de la paix. Egalement utilisée dans des camps de jeunes Japonais et Coréens, elle permet des contacts d'égal à égal.
L'espéranto poursuit les mêmes buts que l'Unesco : soutenir la circulation libre de l'information en général et le développement de l'éducation, des sciences et de la culture. En 1954 et 1985, l'organisation mondiale a voté deux résolutions pour attirer l'attention sur le travail de l'Association universelle d'espéranto. »
RTN →
« L'espéranto candidat au Nobel de la paix.
Deux parlementaires neuchâteloises soutiennent la candidature de l’Association universelle d’espéranto (AUE) au Prix Nobel de la paix 2008.
Gisèle Ory, conseillère aux Etats, et Francine John, conseillère nationale, ont présenté cette candidature aujourd’hui à La Chaux-de-Fonds.
La métropole horlogère abrite un centre important espérantiste. L’espéranto est une langue fabriquée à partir de plusieurs autres langues. C’est une langue apolitique qui favorise les contacts pacifiques.
Un millier de personnes en Suisse pratiquent l’espéranto et 5 millions dans le monde.
L’Association universelle d’espéranto (AUE) pourrait recevoir un million de dollars si elle obtient le Nobel de la paix. »